Salut, je suis Julien Dray. Je suis député de l'Essonne et depuis le mois de mars 2004, je m'occupe de la jeunesse au sein du Conseil régional d'Ile-de-France.
J'ai des idées, mais seul on peut pas tout savoir.
Moi j'ai 50 ans. J'ai des enfants qui sont adolescents et qui me racontent un peu, il y a des choses que je sais, mais aussi des choses que je ne sais pas. C'est pour ça que j'ai besoin de vous.
Si vous avez un peu de temps à me consacrer, ça m'arrangerait. Ça m'éviterait d'être à côté de la plaque, et vous ça vous évitera peut être de dire que les politiques ne vous demandent jamais votre avis.
bazook, Posté le dimanche 17 juin 2007 13:04
pa grand chose à voir avec le sujet mais pourquoi n'y a t-il pas de police municipale ou de quartiera grigny? c'est bien inscrit dans le programme du PS que vous défendez
planerium, Posté le mercredi 25 avril 2007 13:24
ce qui s'est passé est la conséquence de la politique de brutalité mené par Sarkozy , les forces ne l'ordre n'ont pas à tabaçer une personne en public .C'est inadmissible
Léo, Posté le vendredi 20 avril 2007 04:20
Ca sert à montrer aux gens qu'il ne faut pas voter pour lui simplement car n'oubliez ce qui s'est passé en Italie pendant des années avec Berlusconi, vous avez envie de vivre ça vous ?
Pas moi....
sam, Posté le mercredi 18 avril 2007 10:51
Faut vraiment être naif pour penser que les résultats d'une politique se font voir sur 5 ans, une politique mac donald façon fast food...
Gauche comme droite s'imbrique dans ce fiasco, l'alternance assure la continuité dans le n'importe quoi ..
La gauche a déserté les quartiers tout autant que la droite,
seulement la gauche pense avoir le monopole des banlieux parce qu'elle leurs prodigue des subsides lorsqu'il s'agit de cours de djembé ou d'ateliers peintures pour les chomeurs de plus de 30 ans.....
ces évenements sont d'une banalité, comme si c'était une nouveauté les révoltes, sur ces 20 dernières années on en a bien eu une 30 aine, gauche comme droite parfait équilibre...
pq ne pas rédiger un article sur le 2 millionieme arrachage de sac ou vol a la tire ? par analogie c idem ...
je-suis-bonhomme, Posté le vendredi 13 avril 2007 06:01
j'ai juste une question, je ne porte pas de jugement, vous pouvez critiquer n'importe qui, je m'en fiche, mais
cela vous importe quoi de faire tout un blog en critiquant un personnage politique? merci de répondre..
gastonL, Posté le mercredi 11 avril 2007 15:39
Un problème depuis 5 ans, ou depuis la fin des années 80 quand vous étiez au pouvoir?
A cette époque, j'étais cadre moyen travaillant à Paris. Trop riche pour qu'un comité de soutien me trouve un logement rue du Dragon, trop pauvre pour pouvoir me loger à Paris. Donc tous les jours, une heure et quart le matin et autant le soir pour aller travailler, non pas sur la ligne de la gare du nord, mais quelque part entre Chanteloup les Vignes et Mantes la jolie, ce qui n'est pas vraiment mieux.
Je me souviens entre autre d'un contrôle un samedi après midi où nous étions les seuls, ma femme et moi, à avoir payé notre billet. Parmi les autres passagers, le premier avait pour toute pièce d'identité le PV du matin pour absence de billet, la seconde n'avait pas d'argent alors qu'elle nous bassinait avec sa copine depuis une demi heure avec ses vêtements et chaussures de ski qu'elle venait d'acheter pour aller au ski, etc. .Bref tout le monde s'en foutait, sachant qu'il ne paierait jamais.
La SNCF ne voulant pas s'attaquer de front au problème, a inventé les CAB (contrôle automatique de banlieue). Le résultat est que maintenant on se fait bousculer en passant dans un CAB par un type qui n'a toujours pas de billet et en profite pour passer avec vous. Et le paradoxe est que si vous râlez, ce sont les autres voyageurs qui trouvent que vous exagérez.
Depuis vingt ans que le pli est pris, la vraie provocation, ce n'est pas de voir la police dans une gare, mais qu'un contrôleur ose vous demander votre billet.
Meloslow, Posté le mercredi 11 avril 2007 09:12
C'est clair qu'il y a vraiment un malaise chez les "jeunes" aujourd'hui pour qu'un incident qui arrive tous les jours je suis sûre en France dégénère de cette façon.
Chacun a ses torts mais il est vrai que les policiers ou contrôleurs ont souvent une attitude qui pousse à l'"énervement".
Ce matin même, un pauvre travailleur avait oublié son attestation de travail chez lui (alors qu'il avait le billet abonnement travail) et il s'est pris une amende par les contrôleurs et quelques remarques qui visaient à le faire passer pour un moins que rien.
Comment voulez-vous que les gens gardent leur calme ?
Hades, Posté le lundi 09 avril 2007 19:31
Halala, chr monsieur dray, comme tout les pontes du ps vous n'hésitez pas a mettre su le dos de vos adversaires tout ce qui se passe en france alors que ceux ci n'y sont pour rien... peut etre pour masquer votre programme démagogique et vide de sens?
fanficsworld, Posté le lundi 09 avril 2007 06:47
Bonjour,
Comme d'habitude, votre post correspond tout à fait avec la situation que j'imaginais, avec l'opinion que j'avais avant de vous consulter. C'est peut-être pour ça que je suis de tendance gauche : parce qu'en général, j'ai les mêmes positions que vous sur la plupart des sujets, et ce sans même en parler avec qui que ce soit.
Aujourd'hui, la France a peur. Les gardiens de la paix, devenus "Force de l'Ordre", nous font peur. On a pas confiance dans leurs actions. Les policiers sont-ils à blâmer ? Certe non, il ne font que leur travail. Lorsqu'une politique intérieur prône le 100% répressif et le 0% préventif, on créé une situation qui mène à ce genre de problème.
C'est infiniment regrettable, mais n'était-ce pas prévisible ? J'avoue que moi-même, je ne pensais pas que les dégâts seraient si grave pour l'image de notre police.
J'espère que chacun gardera souvenir de ce résultat, à l'avenir. Et que le 22 avril, chacun votera en sachant ça.
Et pour ceux qui pensent que Nicolas Sarkozy n'est pas responsable, rappelons-nous l'une de ses premières apparitions plus ou moins médiatisés lors de ce quiquennat, où le "poete" a dit : "Organiser des matchs de rugby, c'est bien. Mais ce n'est pas la mission première de la police. La mission première de la police, qu'est-ce que c'est ? C'est l'investigation. L'interpellation."
Thom... citation de mémoire, bien entendu. Mais vu le nombre de fois que je la sors, cette citation, il va bien falloir que je mémorise la VO quelque part !!
une autre, Posté le vendredi 06 avril 2007 20:58
Extraits
Dans "Un mouton dans la baignoire", Azouz Begag relate notamment la crise née entre lui et le ministre de l'Intérieur à la suite des propos de ce dernier à Clichy-sous-Bois en octobre 2005. Nicolas Sarkozy s'y rend après la mort de deux jeunes électrocutés et parle de "racaille". Azouz Begag s'oppose alors dans la presse le lendemain à cette "sémantique guerrière". Marianne publie des extraits de cette tension entre les deux hommes relatée par Begag dans son livre. En novembre 2005, Nicolas Sarkozy "(lui) passe un savon tellement incroyable qu'(il) ne peut s'empêcher de le consigner sur le champ : 'Tu es un connard ! Un déloyal, un salaud ! Je vais te casser la gueule ! Tu te fous de mon nom… Azouz Sarkozy ! Je vais te montrer, moi, Azouz Sarkozy… Tu te fous de mon physique aussi, je vais te casser ta gueule, salaud ! Connard !'". "A chaque fois que j'essaie de placer un mot", explique Azouz Begag, "il me coupe : 'J'en ai rien à foutre, de tes explications ! Tu vas faire une dépêche à l'AFP pour t'excuser, sinon je te casse la gueule…'".
sexy-petit-sarko, Posté le vendredi 06 avril 2007 11:07
sarkozy a un bilan tres mauvais c'est catastrophe !!!!!!!!
louisa, Posté le mercredi 04 avril 2007 16:04
Personne ne semble surpris que les caméras de télévisions éraient là juste avant que le contôle ne dégénère ?
clairevoyance ou délit d'initier ? coup monté bien sur!
par qui ? à votre avis, à qui profite le crime?
garino-christian, Posté le mercredi 04 avril 2007 14:31
La configuration géopolitique actuelle et la dislocation des réseaux sociaux nous oblige à réveiller notre citoyenneté, avec le défi de l'Europe à la clé : indépendance et arbitrage. Pas question de se payer de mots comme souvent en politique mais de démontrer le réalisme du "libres ensemble"! Pour cela l'union a une priorité, celle d'une communication ouverte et équitable que seule aujourd'hui l'esperanto assume dans la dignité et la cohérence. Ce doit être un choix actif qui nous implique dans le rapport à la fois démocratique et pratique, sans lequel le pouvoir de décision nous échappe. Fédérons nos Libertés ! parlons en, parlons nous !
Europe-Liberté : "libres ensemble" Kristian Garino (Président d’Esperanto-Liberté)
Plaçons l’esperanto dans le débat présidentielle
www.esperanto-liberte.com
http://garino-christian.skyblog.com
http://christan-garino-esperanto.over-blog.org
Jérémy Bizet (Porte Parole d’E-L)
alexandreamdouni, Posté le mercredi 04 avril 2007 09:07
Y en a un qui veut absolument faire de l'insécurité le theme majeur de la campagne, toujours le même qui a tendance a confondre insécurité et immigration, toujours le même qui a le bilan sécuritaire le plus catastrophique des dernières décennies, toujours le même qui se montre en pêre de la morale et de la vertue.
Aller sarko bientot les français vont de karcheriser avec un bulletin de vote! sans rancunes!
Luc, Posté le mercredi 04 avril 2007 08:35
Simone weil a-t-elle traité Sarkozy d' IMPRUDENT et de GRAVE!!!!! en parlant de son ministère de l'immigration et de l'identité nationale?
Ségoléne Royal a trés bien fait de dire qu'il mentait : c'est d'ailleurs son fond de commerce .
Surtout qu'elle continue d'attaquer et ne pas atténuer ses propos:ce que Jospin fit en 2002 ,on connaît la suite.....
SORTONS LE SORTANT!!!!!!
demoselections, Posté le mercredi 04 avril 2007 08:29
S'il devient président ce Mr Sarkozy! Je dis bonjour les dégats! Et puis je me dis que les français ne méritent pas leur grand pays qui est la France!
Peckinpache, Posté le mardi 03 avril 2007 16:07
Les incidents de la garde du Nord témoignent de la fébrilité qui règne dans le cadre de cette campagne présidentielle.
Est-il nécessaire de rappeler quelques fondamentaux ?. Il semble que oui. Il est illégal d’emprunter les transports en commun sans titre de transport valide. C’est du bon sens.
Il n’est donc pas question ici comme le fait encore une fois, oui encore une fois Monsieur Sarkozy de diviser les français et de pointer de façon malhonnête le doigt sur ceux qui soutiennent les fraudeurs et les délinquants (les socialo-communistes, les petits gauchistes) et les autres, incarnation du civisme et soutien indéfectibles aux forces de l’ordre. Les gens de gauche comme les gens de droite ont besoin de sécurité.
Il est évident que ce genre d’incident est condamnable et ne peut justifier quelque soit par ailleurs la violence de l’interpellation, la destruction du bien d’autrui et la violence faite aux personnes (usagers et forces de l’ordre).
Ce que fait ressurgir ce genre d’incident, d’incivilité c’est l’installation d’une défiance vis-à-vis des forces de l’ordre. Le compte n’y est plus. La confiance s’en est allé. Le doute nous taraude à chaque fois : Est-ce que cette police est au service de l’État, d’un parti ou du public ? Oui parce que à force de confondre État avec entreprise personnelle à l’usage du parti et des amis on ne finit pas douter de sa neutralité légendaire. On arrange les lois, on augmente le plafond des dépenses de campagne pour donner plus d’air au champion, etc. (si, si c’est passé par décret il y a quelques semaines). Quelques-uns font la loi. Vive l’UMP.
Nous voilà donc revenu donc à la vieille rengaine : moi parti de l’ordre, toi méchant parti du désordre. Toi adepte de l’idéologie soixante huitards, donc attardé. Moi adepte de la responsabilité et de l’ordre, la France bon dieu. C’est vrai que du temps de Mitterrand la France était à feu et à sang.
Cette posture idéologique de petit bourgeois bien au chaud est fausse. Le diagnostic est dès le départ faussé par ce genre de formule daté du vingtième siècle. La volonté de quelques hommes politiques de rétablir la police de proximité ne s’inscrivait pas dans une optique d’affichage, mais dans une volonté réelle de rétablir des liens entre les citoyens et leurs polices. Il s’agissait de sortir du dialogue de sourds pour enfin s’écouter les uns les autres.
Mais cela ne suffit pas, le terreau de ce ras-le-bol, de cette violence trouve ces racines bien plus profondément dans la violence économique et sociale que subissent les déracines, les déclassés, bref, une partie non négligeable de nos concitoyens. Oui, parce que ces joyeux lurons ne sont pas des gens de l’extérieur. Ce ne sont pas des « barbares » comme l’affirme si honteusement Philippe de Villiers. Oui, bien sûr ce sont des agités. Faut-il les exécuter ? Faut-il transformer la France en une immense prison à ciel ouvert ?
L’ordre sans un minimum de justice sociale aboutie à la tyrannie d’une minorité. Il n’est d’ailleurs pas inutile de rappeler que la plupart des donneurs de leçon, sont les premiers touchés par le chômage, la crise du logement, le déclassement social !.
Il est donc urgent de redéfinir les contours d’un contrat social. Notre bonne vieille droite, non, non je ne parle pas des anciens cocos, fascistes, frustrés qui ont viré de bord à la faveur du messie. Non, non je ne parle pas de la vieille et nouvelle France qui pense probablement détenir la vérité. Il n’en reste pas moins sauf contre ordre, que nous sommes tous mortels et à ce titre nous avons au final une commune destination, une commune condition. C’est déjà pas mal, c’est un début. Pas de bol, nous parlons la même langue et nous sommes habités par certaines valeurs et traditions. Pas de bol, nous habitons également un même territoire et nous sommes tous « presque tous » attachés à nos familles et à nos amis. Bref, nous sommes contraints de cohabiter sauf à jeter par-dessus bord l’idée d’unité nationale et à faire éclater l'ensemble.
Malheureusement pour préserver l’unité nationale il ne suffit pas se gargariser avec des mots comme « rassemblement », comme « ensemble ». Non, il n’y a pas de communauté politique viable même à court terme avec des pompiers pyromanes comme messieurs Sarkozy, de Villier et Le Pen. Ces hommes ne sont pas des sauveurs, ils n’ont pas la solution à tous les maux de la société. Ils ont de fausses solutions au service d’une tribu de la société, de quelques-uns. Une telle vision ne peut durablement préserver l’unité nationale, ni une société. Segmenter aboutie à une société tellement immunisée qu’elle devient insensible aux antibiotiques. Elle ne vit plus, elle ne rêve plus, elle ne désir plus. C’est une société qui devient petit à petit une mécanique bien huilée mais sans âme et sans dessein. Une telle société à vrai dire n’est pas vivable même à court terme.
Verdict le 22 avril 2007.
Doom, Posté le mardi 03 avril 2007 08:55
Vous osez dire que les francais se mefie de la police !!! MAIS C'EST n'IMPORTE QUOI ! C'est DE LA JUSTICE que les francais se defient car elle ne fait pas son travail ! Encore recement, plusieur voisins devalises en plain jour. La police sait qui mais ne peux rien faire de peur e declencher des emeutes et ils savent que les juges ne font rien ! La police ET les citoyens sont les victimes du laxisme des juges marxiste, de la mafia du syndicat de la magistrature. La gauche est responsable de cet etat de fait. la royale a ose se rendre a clichy sous bois pour quasiment rendre hommage aux emeutiers.
Aux elections, preparez vous a une sacree deculattee et ce malgre les voix que vous recolterez parmi la racaille que vous protegez !
anne, Posté le lundi 02 avril 2007 14:46
est ce qu'il est vraiment impossible de dire, tout simplement qu'il y a eu une guerre avec Abdel Kader, la france a gagner, comme les politiques ne savaient pas trop quoi faire de ce territoire ils y ont envoyé les "Comunards" ensuite dans ce territoire deveznu français des alsaciens chassèz de françe par les allemands sont venus s'y installer et d'autrs de l'exagone ont suivi et c'est de cette façon que l'algerie française est née. Je pense que les petits enfant de tous ces algériens nés en algérie française à cette époque ont un ressentiment par ce que la vérité toute simple n'a pas ete dite, oui les régimes l'époque ont été immonde envers les populations de ce pays et bien sur que les politiques français ne peuvent pas le nier mais tout ceci avec toutes ces horreures d'un côté comme de l'autre font partit de notre histoire commune et il me semble que par la comprehension de l' Histoire il y aura une compéhension entre nous et que ce cancer insidieux "racisme" pourra être vaincu enfin le mal-être de tous ces jeunes ne viendrait-il pas de tous ces non dits?
latrach, Posté le samedi 20 octobre 2007 12:39
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